Le papier est ensuite défibré en ouate de cellulose avec un moulin à attrition. C’est grâce à cette étape que l’isolant prend la forme sous laquelle nous le connaissons. La ouate de cellulose est composée de flocons de papiers, permettant ainsi de remplir le moindre interstice. Grâce à ses fibres densément enchevêtrées, la ouate de cellulose est naturellement résistante à la chaleur, qui met jusqu’à 2,5 fois plus de temps à la traverser, par rapport aux laines minérales soufflées.